L’étymologie du terme Sophrologie se compose de trois racines de grec ancien : Sôs, Phren, Logos.
Phren est la seconde. Elle pourrait se traduire par « Conscience », « Esprit ». Elle désigne la faculté de perception et de jugement.
Alfonso Caycedo, le fondateur de la sophrologie comme méthode à visée thérapeutique, définissait la conscience comme « La force responsable de l’intégration de toutes les structures de l’existence de l’Être ».
La pratique de la sophrologie mène chacun à être conscient de ce qui entre en jeu dans sa relation à lui-même, aux autres et à ce qui l’entoure. Connaissons-nous vraiment notre corps, notre respiration, nos émotions, nos pensées ? Que disent-ils de nous ou de notre relation à la vie, aux autres, au monde qui nous entoure ?
La sophrologie se propose de conquérir ses territoires intérieurs souvent méconnus afin d’acquérir une meilleure connaissance de soi.
« Toute action positive, dirigée vers la conscience, se répercute positivement sur la totalité de l’Être »